Référence explicite aux Misérables de Victor Hugo, ce roman-feuilleton a paru dans les colonnes du journal Le Rapide entre juillet et septembre 1887. Retrouvé récemment, il n’avait été publié que cette même année 1887, avant de sombrer dans l’oubli. Il mérite une redécouverte.
Une histoire qui plonge le lecteur dans le Limoges des années 1840.
Fin des années 1840. Musilhac, au sud de la Haute-Vienne, non loin de Saint- Yrieix-la-Perche… Jeannille Dessaleys, jeune fille innocente, travaille avec son père dans les carrières de kaolin, pour le compte d’un fabricant de porcelaine, Etienne Poilevé. Celui-ci, mû par les désirs les plus troubles, la fait enlever par son homme de main, Michelou, un ancien négrier. Jeannille échappera-t-elle au complot manigancé par ce sinistre personnage ? Le kidnappeur n’est-il pas doublé dans ce rapt par un de ses proches ?
Enlèvement et machination sur fond de références artistiques et politiques
Ce même Poilevé est manipulé par un trio infernal, les Crochard, agents à la solde des jésuites. Quel secret se cache derrière ce deuxième complot ? Nous allons voir ici deux abbés et des bigotes à la manœuvre, agissant dans l’ombre… Le père de Jeannille part sur les traces de ces malfaisants, aidé par un peintre parisien, qui a fait le portrait de Jeannille. Parviendront-ils à la retrouver ?
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LES MISERABLES DU LIMOUSIN
256 Pages
Format : 16 x 22 cm
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