Préface d'Alain Pigeard Président du Souvenir napoléonien
Janvier 1814. A Leipzig, trois mois auparavant, les coalisés ont réussi à mettre la Grande Armée en échec. Poussant leur avantage, ils investissent le pays de toutes parts. C’est le début de la Bataille de France. En Champagne Napoléon réalise des prodiges pour diviser et tenter de battre l’ennemi innombrable...
Le second théâtre des opérations se situe entre le Rhône et les Alpes. Dans ce cadre propice aux actions d’éclat et aux coups de théâtre, le maréchal Augereau, basé à Lyon, fait face au général Bubna entré dans Genève le 30 décembre 1813. Tour à tour ils vont prendre l’initiative : à Saint-Julien, les 27 février et 1er mars, les Français commandés par Marchand et Dessaix sont tout près de chasser les Austro-Hessois de Genève ; pourtant, à la mi-mars, Bubna a plus que rétabli la situation. Ses troupes en surnombre submergent littéralement les forces françaises qui à Mâcon, Saint-Georges et Limonest multiplient en pure perte les actes de bravoure... Le 20, Lyon est déclarée ville ouverte.
Jean-Philippe Rey, agrégé, docteur en histoire, enseigne à Lyon en classes préparatoires. Ce spécialiste de l’Empire a choisi de mettre « la caméra à l’épaule » pour nous livrer une histoire « au ras du sol » de ces Derniers combats pour l’Empire.
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DERNIERS COMBATS POUR L'EMPIRE, LYONNAIS, DAUPHINE, SAVOIE
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